recherche informations sur un bouquin.

Salut,
Je fais parti d'un forum anglo-saxon de wargame sur le vietnam et l'indo et j'ai déterré un vieux topic dans lequel un des participants mentionnait un livre français. Malheureusement je n'ai ni l'auteur ni le titre( et le dit participant n'est plus actif). Il s'agit d'un livre en français sur Dien bien phu dans lequel on peut trouver des témoignages de soldats vietnamiens.
des exemples ci dessous ( google traduction pour faire rapide :traduit de l'anglais vers le français mais qui a du être traduit du français vers l'anglais auparavant...)
Quelqu'un a une idée du bouquin?
Merci
Pascal

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Vietminh PREMIER OFFENSIVE (13 mars 1954)

Les Français considéré comme Béatrice, Gabrielle et Anne-Marie comme imprenable. Les trois centres de résistance ont défendu le nord du camp de retrancher. Au moment d'affrontements déjà mortels, Beatrice est tombé sur le premier jour de la bataille - 13 Mars Gabrielle dans la matinée du 15, et Anne-Marie le 17.

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Pham Van Nham, né en 1932, commandant de Demolition Group, Company 245, Bataillon 11, Régiment 141, Division 312.

Nous intensifions les préparatifs de l'attaque sur la colline de Him Lam (Béatrice) que nous approchons 13e Mars. Auparavant, chaque «cellule de trois" a reçu l'ordre de construire une cage en bambou de 1m de largeur et 2 m de longueur. Ce grand panier est rempli de troncs de bananiers et sert de bouclier contre les balles ennemies. Dans la nuit du 11, nous explorons 400m de la colline et de commencer à creuser des tranchées à la file indienne.

Le sol est rocheux, avec beaucoup de pierres. Travailler avec des pics est interdit afin de ne pas avertir l'ennemi. Le travail est trop lent.

De 20h00 jusqu'à ce que les premières heures de l'aube, nous creusons pas plus de 20cm. L'ennemi a plus ou moins découvert notre présence et déclenche plusieurs salves dans notre direction, tuant trois soldats et en blessant douze dans notre unité. Vers 4h00 du matin, nous sommes obligés de se retirer.

La nuit suivante, nous reprenons le creusement sans des progrès importants, la profondeur des tranchées est seulement 30cm. L'ennemi continue à tirer sur nous avec une intensité. Les boucliers sont inefficaces, et mon groupe Chiffres quatre autres morts et blessés.

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Dao Van Truong, né en 1916, commandant de la Division de l'ingénierie et de l'artillerie 351

A 17h30, le début de la bataille de Dien Bien Phu, commence avec l'entrée sur la scène, pour la première fois, de notre 105mm. Je ne vous inquiétez pas à propos de la supériorité des canons ennemis, ou la batterie contre la violence promise par le lieutenant-colonel Piroth, commandant de l'artillerie française. Il avait assuré Navarre qu'il "réduirait l'artillerie Vietminh pour faire taire dès qu'il apparaît." Ce qui me préoccupe plus était de savoir si nos obus frappaient nos unités d'assaut, comme 105mm coquilles produisent une large diffusion des éclats d'obus, et nos troupes devront passer à travers les barbelés de l'ennemi. En effet, notre 105mm cracher du feu dès l'après-midi pour arrêter un mouvement ennemi contre les tranchées que nous utilisons comme base d'attaque. Vingt coups au rythme rapide frapper et détruire l'abri du CP sur Him Lam.

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Luu Trong Lan, né en 1930, cadre de l'état-major du bataillon 33, AA Régiment 367, Division 351

Notre bataillon est à l'Est. Nous avons comme mission de protéger l'espace aérien au moment de la première attaque contre lui Lam. Au début des hostilités, l'ennemi ignorait la présence de nos 105mm obusiers et notre AA. Leurs services de renseignement ont signalé "régiment lourd en direction de Dien Bien Phu», mais sans plus de précision. On pourrait dire que l'artillerie lourde Vietminh a créé la surprise totale sur l'après-midi du 13 Mars. Ce jour-là, l'ennemi envoie un escadron d'aéronefs dans la vallée pour soutenir la défense de Him Lam.

Dès que l'avion arrive, ils sont entourés par un rideau de AA feu, et leurs pilotes de panique. Comme cette nuit est tombée, le ciel est illuminé par des lignes étincelantes entrelacées, avec une succession de bruits de canons de tous calibres. Les pilotes comprennent que cette question relève de l'artillerie lourde, et ils paniquent et laissent tomber leurs bombes sans objectiver précis, et leur formation est désormais désordonnée. Au moment de ce premier affrontement, notre AA accomplit deux missions: semer la peur dans l'ennemi et de bien couvrir la progression de l'infanterie. L'AA n'a pas abattu un aéronef, mais a frappé un F8F.

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Pham Van Nham, né en 1932, commandant de Demolition Group, Company 245, Bataillon 11, Régiment 141, Division 312

Deux heures après le lancement de la bataille, la violation n'a pas encore été ouvert, alors que nous avons épuisé nos explosifs. La situation à ce moment est très difficile en raison des pertes humaines élevées. Le déluge de feu de l'ennemi continue à tomber. Soudain, une voix se lève derrière moi: «Les membres du Parti, ceux qui sont loyaux au Parti, avancent!" Les soldats semblent galvanisés. Le seul moyen de progresser est de se précipiter vers l'avant, et sans hésitation. Dans tous les cas, nous allons mourir si nous restons où nous sommes couchés. Nous sautons sur nos abris et courir à grande vitesse vers le fil de fer barbelé. En face de l'endroit où nous devons ouvrir une brèche, les morts et les blessés accumulent. Nous devons les laisser et continuer notre progression. Nous récupérons les explosifs de notre mort. Au total, nous avons besoin de 37 paquets d'explosifs et une heure pour détruire les 20 derniers mètres de fil de fer barbelé.

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Minh Cao, né en 1928, l'adjudant commissaire politique, Bataillon 11, Régiment 141, Division 312

Notre bataillon reçoit la mission d'attaquer la première colline Him Lam. La bataille dure trop longtemps. Alors que les autres unités ont accompli leur tâche, nous progressons péniblement et la bataille ne s'arrête à minuit. L'artillerie ennemie tiré tout à fait près de mille tours dans notre direction. Un certain nombre de nos camarades sont morts ou blessés.

Deux autres unités qui ont participé à l'attaque contre lui Lam sont décorées avec le mérite militaire Médaille de troisième classe, alors que les nôtres ne reçoit rien. Une fois la bataille terminée, nos supérieurs viennent le champ de bataille pour analyser nos faiblesses. Ils concluent: «Vos tranchées ne sont pas suffisamment en profondeur, ils ne répondent pas aux normes".

La moitié de notre bataillon est mort ou blessé, et nous sommes tous très tristes.

bonjour

a vu de nez, je dirais "dien bien phu vu d'en face" chez nouveau monde edition:

http://www.nouveau-monde.net/livre/?GCOI=84736100013920&

bon bouquin

et bonne lecture

lr

Merci !