Général Marcel-Maurice Carpentier

Commandant en chef du CEFEO de 1948 a 1950.



Origines familiales :

Né le 14 juillet 1895 à Preuilly-sur-Claise , il était l’aîné de sa famille.


Première Guerre mondiale :

De la promotion "Croix du Drapeau" de École spéciale militaire de Saint-Cyr, à la mobilisation, il est nommé au 90e régiment d'infanterie de ligne comme sous-lieutenant. Le 22 mai 1915, à tout juste 20 ans, il devient capitaine. Il est très gravement atteint le 16 juin 1915 à Neuville-Saint-Vaast. Ce séjour donnera matière à un ouvrage "Un cyrard au feu" (Editions Berger Levrault 1963)

Entre-deux-guerres :

Il étudie à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr.

En 1937, il est promu chef d'état-major du commandement supérieur des troupes du Levant.

Seconde Guerre mondiale :

En 1940-1941, il sert comme chef d’état-major des forces du Régime de Vichy stationnées en Afrique du Nord et commandées par le général Jean de Lattre de Tassigny.

En 1942 Carpentier rejoint le camp de l'Armée française de la Libération et devient chef d’état-major de la 1re armée de 1943 jusqu’à mi-septembre 1944, où il prend alors le commandement de la 2e division d'infanterie marocaine (2e DIM), qu'il sert jusqu’en 1945.

Nominations :

colonel en 1942 ;
général de brigade en 1943 ;
général de division en 1944.

Après la guerre :

Promu grand officier de la Légion d’honneur en 1947, il est nommé en 1949 commandant en chef des forces du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Il est remplacé en décembre 1950 par le général de Lattre de Tassigny, à la suite du désastre survenu lors de l'opération d'évacuation de Cao Bang, le long de la RC4 et l'évacuation précipitée de Lang Son.

Carpentier retourne en Europe et est affecté auprès de l’OTAN en 1951. Il quitte l'Armée en 1953.

Nominations :

général de corps d'armée en 1949 ;
général d'armée en 1953.

Ouvrage :

Un cyrard au feu, Éditions Berger-Levrault, 1963

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel-Maurice_Carpentier

Une nullité grand responsable du désastre de Dong Khé en octobre 1950 (3 pertes françsies et 2000 prisonniers dont fort peu ont été récupérés en juillet 1954 après les accords de Genève). Les décisons qu'il a prises pour l'évacuation de Cao Bnag par la Légion et 2000 civils est une aberration de dérangé mental et, dans bon nombre de pays, il aurait été fusillé ! Au lieu de ça, on l'a promu dans l'ordre de la Légion d'Honneur et nommé commandant en chef des troupes françaises d'occupation en Allemagne; Que son nom reste dans l'histoire de France pour l'éterniét comme un assassin !