Lieutenant 1er BEP Hanoï fin 1954

Bonsoir à tous,
Voici un lieutenant du 1er Bataillon Etranger de Parachutistes qui vient d'être fait Officier de la Légion d'Honneur, on pourrait le situer en septembre/octobre 1954 après la captivité dans les camps viets, survivant de Dien Bien Phu :









Cordialement
Jérôme

bonjour

bravo jerome...pour ces reliques !
on vois que tu as eu le temps de lui faire les sourcils !
non pas la tete...pas la tete

lr

Bonjour,

Superbe mannequin Jérôme, comme d'habitude, avec un gros coup de cœur pour le képi, il est splendide !
Merci pour ce bel hommage à nos anciens.

Avec toutes mes amitiés,
Antoine.

Bonsoir à vous deux,
Merci pour vos commentaires !
Petite précision, normalement le ceinturon devrait être blanc (pour officier Légion) mais pas évident à trouver !
Amicalement
Jérôme

Bonjour Bawouan.
Bravo pour ce superbe mannequin , petite question, combien de temps pour le réaliser?.
Joël.

Très beau mannequin ! J'aime beaucoup le détail concernant le port du képi un peu haut. Typique de l'époque !

Mathieu

Salut Jerôme,
a contrario avec tous je vais dire que ton Lieutenant, si la tenue est nickel, la rosette sans aucune autre décoration, il faudra que tu m'expliques comment il l'a obtenue !!

Bonsoir,
Ce lieutenant vient d'être fait officier de la LH, et lors de la remise d'une décoration, aucune pendante ni rappel n'est présente sur le récipiendaire !
Voilà
Jérôme

Mais les survivants des camps viets ( de la légion en l'occurence) n'ont pas été rapatrier à Sidi Bel Abdès ou hospitaliser dès leur retour?

En tout cas beau mannequin!

Re,
Pas forcément, certains ont mieux supporté que d'autres la terrible détention dans les camps Viets, il existe une photo des officiers du 1er BEP survivants de Dien Bien Phu prise à Hué en septembre 1954, on y voit les commandants GUIRAUD et VIEULES, les capitaines BRANDON, MARTIN et LUCIANI et les Lieutenants NO MURA et DOMIGO, amaigri certes mais en tenue de sortie !
Bien cordialement
Jérôme

Bonjour,

J'ai lu plusieurs fois des témoignages de survivants des camps qui, paradoxalement, n'étaient pas trés pressés de rentrer en France.
Sans doute la peur de devoir expliquer a des gens qui n'avaient pas connu la même chose qu'eux.

Il y a aussi des impératifs médicaux, certains n'auraient pas supporté un voyage en avion immédiatement aprés la libération.
Il fallait prendre le temps de les retaper et un retour en bateau faisait une excellente convalo.

Navarre sans peur a écrit:Mais les survivants des camps viets ( de la légion en l'occurence) n'ont pas été rapatrier à Sidi Bel Abdès ou hospitaliser dès leur retour?

Bonjour, non pas à Bel Abbes, mais au Camp Ste Marthe à Marseille.