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La baïonnette MAS 36 par PHROBIS

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La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Empty La baïonnette MAS 36 par PHROBIS

Message  Admin Ven 23 Jan - 19:43

Bonsoir,

Phrobis m'a demandé de l'aider à poster son article sur la baïonnette mas 36 car il n'arrivait pas à le poster en entier. Je suis au regret de constater que je ne peux pas non plus. Je vais essayer de régler ce problème rapidement.

LA BAÏONNETTE M.A.S. 1936.
DIMENSIONS :
Longueur totale : 432 mm.
Longueur lame : 337 mm.
Diamètre à la base de la lame : 10,5 mm.
Diamètre de la poignée : 14 mm.
Diamètre de la partie moletée de la poignée : 16 mm.
Longueur de la partie moletée de la poignée : 15 mm.

ARMES A FEU UTILISEE :

Fusil M.A.S modèle 1936, calibre : 7,5 mm.

Ce fusil à répétition, fabriqué par la Manufacture d'Armes de Saint Etienne (M.A.S.) résulte des essais effectués dans les années 1920/30 dans le but de moderniser l'armement portatif de l'armée française, il s'agit d'un fusil à verrou qui au contraire des armes similaires de l'époque est équipé de deux tenons de verrouillage situés à l'arrière de la culasse mobile. Lors de la campagne de France de mai et juin 1940 seul un très petit nombre d'unités d'infanterie seront équipées de cette arme moderne, à la libération ce fusil sera employé par l'ensemble de l'armée française et il participera aux conflits de la décolonisation. L'armée française mettra en vente ses stocks de fusils M.A.S. modèle 1936 au milieu des années 80, ils seront neutralisés ou recanonnés en calibre civil. Il est intéressant de noter que lors des opérations de maintient de l'ordre les fusils de dotation dans la gendarmerie nationale étaient dépourvus de baïonnette.

Reprenons tout d'abord la description de cette baïonnette qui figure dans la notice provisoire concernant le fusil à répétition MAS modèle 1936 du mois d'avril 1940 :
" La baïonnette comprend une lame quadrangulaire prolongée d'une poignée cylindrique, celle-ci renferme un levier muni d'un ressort et portant à chaque extrémité un tenon extérieur servant, suivant le cas, de poussoir ou de crochet (ou tenon).

Cette description sommaire est accompagnée d'une planche qui précise que la poignée est fermée par un bouchon de poignée.

La baïonnette M.A.S 1936 d’essai est identique a ce que sera la baïonnette de série, elle porte sur le flan de sa poignée le marquage suivant :
SE M.A.S 1936 N° (numéro de série)
SE : série d’essai.
M.A.S 1936 :désignation de la manufacture et du modèle.
N° : numéro d’immatriculation dans la série des baïonnettes d’essai.

LA POIGNEE :

La poignée, d'une longueur de 92 mm, est constituée d'un cylindre d'acier avec a sa partie centrale un manchon moleté d'une longueur de 15 mm quel que soit le modèle examiné. Ce moletage est usiné selon un angle de 45°, 60°, 90° sur les deux modèles, mais le premier modèle se trouvent le plus souvent avec un moletage usiné a 45°. Ce manchon possède une double fonction, il sert de butée à la baïonnette contre le tube de fixation de celle-ci situé dans le fût du fusil et il aide à la préhension de l'arme. La partie arrière de la poignée est obturée par un bouchon en acier vissé à l'intérieur de cette dernière, ce bouchon comporte deux trous latéraux facilitant le serrage, de plus ce bouchon peut être dévissé car il n'est, théoriquement, pas bloqué en place, bien que quelques exemplaires du premier type avec bouchons de poignée bloqué par deux coups de pointeau aient été rencontrés.
L'intérieur de cette poignée renferme le mécanisme de fixation de la baïonnette au fusil, ce système se compose d'un basculeur, portant deux ergots, assujetti par un ressort, ces deux ergots sont apparents aux deux extrémités de la poignée chacun d'un côté opposé et ils servent à la fixation de celle-ci dans est logement installé dans le fût de l'arme sous le canon, il faut préciser que cette baïonnette est dépourvue de fourreau et qu'elle est portée par le fusil soit en position de combat, soit en position de repos, le soldat met sa baïonnette dans la bonne position par simple retournement de celle-ci. Selon que l'on verrouille la baïonnette dans l'une ou l'autre position les ergots sont utilisés soit comme bouton poussoir soit comme verrou assurant la baïonnette au fusil. Ce basculeur rappelle celui de la baïonnette U.S. modèle 1905. Le premier modèle ne comporte pas de trou de dégagement, situé à l'avant de la poignée entre le verrou avant et le manchon moleté ce qui autorise la neutralisation de deux fusils en les accouplant par leurs baïonnettes ce qui gène grandement le tir, cette neutralisation était, semble t'il, recommandée, pour les sabotages d'urgence, par la coutume miliaire de l'époque.

Le deuxième modèle est pourvu d'un orifice de 4 mm de diamètre percé à 7 mm de l'ergot avant partie moletée qui permet le dégagement de deux fusils assemblés face à face à l'aide d'une pointe de tournevis, de cartouche ou de tout autre outil pointu, ce trou de dégagement a été fait selon une directive du 20/11/1951, cette «Notice, relative à la modification de la poignée de baïonnette pour permettre de séparer deux armes assemblées par cette poignée » ordonne de : « Percer un trou de 4 mm, dans la poignée à 16 mm de l’épaulement quadrillé, côté lame et sur la même génératrice que le tenon du levier arrêtoir. Pour cette opération, il est recommandé d’utiliser un calibre de perçage avec encoche d’orientation comme indiqué ci-dessous. VERIFIER qu’il ne reste pas de copeaux à l’intérieur de la poignée gênant le fonctionnement du levier arrêtoir ».
Des baïonnettes, du premier type, immatriculées et comportant le trou de dégagement ont été rencontrées, ces armes qui devaient être encore en service sans doute avec leurs fusils correspondants subirent la transformation citée dans cette note. Sur ce modèle le bouchon de poignée est toujours bloqué en place par 2 coups de pointeau situés sous les encoches de serrage ou de façon légèrement décalée, il comporte quelquefois un numéro de matricule frappé sur sa face arrière. . Un exemplaire de baïonnettes du deuxième type avec l’arrière de la poignée décolletée au tour est connu, cet usinage particulier d’une longueur de 12,5 mm et dont l’utilité n’est pas évidente a connaître réduit le diamètre de la poignée de 4 dixièmes de millimètres, de plus la bague moletée présente un matriçage inédit, en effet il a la particularité de posséder à son tiers avant une, en intercalaire, une partie ou ses losanges sont de taille supérieure a ceux du reste du renfort quadrillé et cela sur son entière circonférence.

LA LAME :

La lame est de section cruciforme, elle reprend un profil proche de celle de l'épée-baïonnette modèle 1886 sans en avoir toutefois la solidité et l'on trouve de très nombreuses baïonnettes modèle 1936 voilées ou tordues. La partie cylindrique qui fait office de talon de lame à l'avant de la poignée, est de différente longueur selon les fabrications et c’est généralement à cet emplacement que les fabricants privés ont apposés leurs marquages.
Certaines baïonnettes, du deuxième modèle ou du premier modèle modifié, ont eu la lame et la partie avant de la poignée chromée, elles ont été affectées à la garde républicaine.

LES FINITIONS DE LA BAÏONNETTE :

Les armes de la toute première série de fabrication sont recouverte d’une peinture noire cuite au four, les fabrications suivantes seront bronzées, il semblerait, au vue des pièces rencontrées, que quelques fabrications tardives des armes du premier type aient été phosphatées. Les baïonnettes de fabrication plus tardive, et celle du deuxième type seront phosphatées. Il n’est pas a exclure que des modèles du premier type aient vu leur traitement protecteur modifié lors d’un retour en armurerie régimentaire par exemple.

LES MARQUAGES :

Les baïonnettes du tout début de fabrication sont frappées d'un numéro placé longitudinalement sur la partie arrière de la poignée du coté opposé au verrou arrière, cette série de chiffres est précédée d'une lettre en écriture cursive. Les armes de fabrication plus récentes et celles des deuxièmes modèles sont dépourvues de ce type de marquage. On rencontre quelquefois des modèles du second type portant, sur le talon de la lame, un marquage composé d’une ou plusieurs lettres en caractère bâton frappées perpendiculairement a l’axe directeur de la baïonnette, ce marquage, codé, est celui du sous-traitant civil ayant fabriqué la baïonnette.
Nous savons en effet, que les fabrications qui ont été confiée à l'industrie privée reçoivent ce type de marquages car un dessin d’exécution daté du 26/04/1940 indique que les lettres apposées sur le talon de la lame sont des : « marque de l’industriel », ce croquis concerne les baïonnettes du modèle M.A.S 36 CR 39 et il a été annulé le30/11/1951. Nous pouvons peut-être en déduire que cette disposition a également été valable pour les baïonnettes modèle M.A.S 36 et tant que rien ne viens invalider cette hypothèse, je la considère comme valable, il faut savoir que des armes du premier type comportant à la fois le marquage de fabricant sur le talon de lame et l’immatriculation sur l’arrière de la poignée ont également été rencontrées.
De plus, une note, avec dessin de la poignée de la baïonnette, émise le 22/07/1955 indique que ces armes devront porter, sur la poignée en avant de l’épaulement quadrillé et sur le flan de celle-ci un marquage composé de trois lettres en caractère d’imprimerie frappées longitudinalement lecture vers l’arrière de l’arme. Ce marquage indique dans l’ordre de ces trois lettres :
1) la première lettre correspondant au lot d’acier.
2) la deuxième lettre indiquant l’année de fabrication.
3) la troisième lettre indiquant le mois de sortie.
Cette note précise aussi la machine à utiliser pour apposer ce marquage, le type de caractère a employer, le type de porte outils et d’appareil, la largeur des espacements et le fait que les lettres I & O ne soient pas utilisés pour les dits marquages. A ma connaissance cette directive n’a jamais été appliquée.

LES FABRICANTS :

En plus des manufactures d’armes d’état, l’Armée Française a du faire appel a des sous-traitants privés pour la fabrication des baïonnettes du fusil M.A.S 36. Ces fabricants du secteur privé se reconnaissent aux marquages qu’ils ont apposé sur les baïonnettes. A l’heure actuelle nous ne connaissons pas tous les codes, mais nous pouvons en citer quelques-uns, voici, donc :

la liste alphabétique des industriels fournisseurs de matériel d’armement attributaires d ‘une marque distinctive :

B = Compagnie Générale du Duralumin et du Cuivre. Usine de Boisthorel (Orne).
C = Compagnie Française des Métaux. Usine de Castelsarrazin (Tarn et Garonne).
C.M.R = Dupré Constructions Mécaniques de Romilly (Aude).
D = Compagnie Générale du Duralumin et du Cuivre. Usine de Dives (Calvados).
D.M.R = Etablissements Delettre à Montrouge (Seine).
D.N = Etablissements Camille Dumont à Pont Saint-Uze (Drôme).
K = Société Ame des Etablissements Charpentier, Vogt, G Goguel et Compagnie à Montbéliard (Doubs). Usine de Niederbruck (Haut-Rhin).
R = Tréfileries et Laminoirs du Havre. Usine de Rugles (Eure).
S = Compagnie Française des Métaux. Usine de Sérifontaine (Oise).
T =Tréfileries et Laminoirs du Dauphiné à Domene-Bonmartin (Isère).

Source : Secrétariat d’Etat Aux Forces Armées. Direction Des Etudes et Fabrications d’Armement. 02 Juillet
1958.


Dernière édition par Admin le Ven 23 Jan - 19:45, édité 1 fois

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Message  Admin Ven 23 Jan - 19:44

LES DIFFERENTES VARIANTES :

En plus des modèles cités précédemment, il nous faut revenir sur les modèles chromés ou nickelé pour la parade dit de la «Garde Républicaine ». Sur ces modèles spécifiques, la peinture cuite au four, la phosphatation ou le bronzage ont été soigneusement poli et ce jusqu'à la première partie de la poignée, en avant de la bague moletée et cette partie laissée à nue a ensuite été traitée par nickelage ou chromage.
Les modèles didactiques d’instruction qui se composent généralement de baïonnettes raccourcies présentant une lame tronquée et usinée de façon à former un embout similaire à un tournevis cruciforme, la poignée est découpée, sur les deux tiers de sa longueur, d’une ouverture oblongue se terminant en arc de cercle et laissant apparaître le basculeur de verrouillage à l’intérieur de cette dernière, la partie ainsi découpée est soulignée par un listel de couleur rouge, cette découpe porte sur les deux tiers avant de l’arme et la partie médiane moletée et également ouverte.
Les modèles porte-drapeaux et les dispositifs de présentation que l’on trouve dans les foyers militaires et qui se composent la partie avant d’un fût de fusil M.A.S 1936 muni de son embouchoir, de ses garnitures, de son guidon et bien sûr de sa baïonnette, le tout reposant sur une plaque de bois permettant à l’ensemble d’être mis en présentation sur un mur ou à plat sur une table.
De plus, il arrive quelquefois que l’on découvre au hasard d’une table dans une bourse aux armes : des ébauches de baïonnette M.A.S 1936, ces pièces que l’on trouve dans différents états de conservation et d’avancement dans leurs fabrications présentes généralement une poignée pleine, une partie moletée souvent à peine ébauchée, las lames, quant à elles présentent, dans la grande majorité des cas une bonne finition bien qu’elles ne disposent pas encore d’une pointe très effilée et se terminant le plus souvent par un méplat. L’existence des ces pièces ne nous éclaire pas sur leur finalité, s ‘agit-il de baïonnettes de rebut, de modèle de démonstration élaboré à différent stade de finition, de pièces de références pour le réglage des machines-outils utilisées pour la fabrication des dites baïonnettes ou de toutes autres utilisations possibles ?
Certaines baïonnettes M.A.S. 1936 ont fini leurs carrières comme tournevis à pontet ou à ergots pour écrous à trous, ces fameux écrous à trous si cher à nos concepteurs d’armes et qui sont toujours si difficile a desserrer quand nous n’avons pas le bon tournevis. Des armuriers militaires ont, en effet, résolut ce problème en retaillant la lame de certaines baïonnettes en leurs possessions, en effet cette lame qui va en s’amincissant donne selon la longueur a laquelle elle est coupée la largeur extérieure du tournevis, pour le passage interne de la tige filetée il était usiné au coup par coup en fonction de chaque diamètre de tige filetée employées sur les armes.

UTILISATION ETRANGERE :

Nonobstant le fait que les fusils M.A.S modèle 1936 et leurs baïonnettes aient été livrées à des pays étrangers, notamment, des anciennes colonies françaises pour l’armement de leurs troupes, il convient de signaler que :
La baïonnette M.A.S. 1936 à été aussi réemployée par les troupes d'occupation allemande qui en ont équipé leurs fusils de chasseur parachutiste modèle FG 42 (Fallschirmjäger Gewehr modèle 1942). Pour équiper cette arme elles ont vu leur longueur ramenée à 295 mm pour une longueur de lame de 206 mm, les autres dimensions étant sensiblement identiques entre les deux modèles.
De plus cette arme porte la paternité de quelques baïonnette d’un type sensiblement identique à lame cruciforme ou cylindro-conique, avec poignée portant des bagues moletées ou de simple bourrelet lisse. Nous pouvons citer, par exemple :

-baïonnettes allemandes pour FG 42
-Les baïonnettes américaines INGRAM
-Les baïonnettes suisses FAVOR
-Diverses baïonnettes d’essais qui ne seront jamais adoptées réglementairement

LA BAÏONNETTE M.A.S. 1396 CR 39.

DIMENSIONS :
Longueur totale : 384 mm.
Longueur de la lame : 289 mm.
Diamètre de la poignée : 15 mm.
Diamètre de la partie moleté de la poignée : 17,2 mm.

Cette baïonnette est sensiblement identique au modèle décrit précédemment, sa poignée possède le trou de dégagement, seule sa lame est plus courte de 48 millimètres. En effet le fusil M.A.S. modèle 1936 CR 39 auquel est destinée cette baïonnette possède un canon et un fût plus court que le modèle standard, de plus il est équipé d'une crosse en aluminium qui est repliable (CR = crosse repliable), cette arme à été conçue pour les troupes aéroportées et a notamment été utilisée lors des conflits de la décolonisation en Extrême-Orient et Afrique du Nord. La baïonnette M.A.S. modèle 1936 CR 39 est de finition phosphatée.

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Message  PHROBIS Dim 25 Jan - 18:30

Bravo Monsieur l'Administrateur, tu as bien travaillé mais ça nous le savions tu nous as habitué à cela.
Et voici donc quelques photos qui vont bien pour illustrer mon article.
La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas36_26
La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas36_19
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La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas36_25
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Message  Admin Lun 26 Jan - 15:35

Bonjour,

Merci pour ce complément en image ! Wink

cdt, Antoine.

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Message  PHROBIS Mar 26 Jan - 17:24

Bonjour,

J'ai retrouvé les documents ci-dessous en mettant un peu d'ordre dans mon "gourbi".

Ce sont, je pense, de bons compléments d'information.

La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas_3610

La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas_3611

La baïonnette MAS 36 par PHROBIS Mas_3612
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Message  Ramuncho Mar 26 Jan - 20:21

Bonjour PHROBIS, superbe article sur cette baïonnette M.A.S 36. Merci à toi. Ramuncho
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Message  gustite Mer 27 Jan - 8:59

Merci Alain pour ce post très complet et bien détaillé!
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